toolate a écrit:madame soleil dit qu'il n'y a presque plus d'uranium ni de césium
Je ne suis pas d'accord. L'uranium, il en reste. Son "avantage" par rapport au pétrole, c'est que le stock en France est d'environ 1 an, contrairement au pétrole qui est pratiquement en flux tendu (2 à 3 semaines de pétrole commercial, un peu plus pour le stratégique, de l'ordre de 1 mois).
Son inconvénient, on le connait : un incident dans une centrale et on est bon pour évacuer 1/4 du territoire français. C'est en cela que j'ai "choisi" mon plan B, près des barrage EDF, et loin des centrales nuke. Ou on peut dire que mon plan B m'a choisi...
En fait, c'est un peu comme sortir du gaz (chauffage) pour le bois ou le granule.
Le gaz, on fait confiance à GDF (et son prix), ainsi qu'à Poutine pour les robinets, sans aucune autonomie, ou on passe au bois, on augmente l'autonomie (6 mois de bois, 1 an de granules dans son garage) et on dépend des livraisons locales (et des scieries). Par contre, on augmente son implication (coupe du bois, sac de granule à utiliser, etc...).
Je pense que l'autonomie est un critère important, si on croit que les ruptures diverses et variés vont voire le jour. Comme le Volcan islandais, la rupture du tourisme de masse ainsi que les VRP aériens abonnés aux Miles chez Air France ont été tous scotchés au sol.
PAr contre, un backout électrique, ca, c'est un flip de première envergure. A priori, si on déconnecte l'Europe, la France est relativement protégée.